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La musique d'Herrmann semble avoir été écrite
pour explorer toutes les ressources intimes du piano.
(...) Stéphan Oliva donne à ce projet casse-cou
un caractère d'évidence.
RICHARD ROBERT • LES INROCKUPTIBLES
Inutile de préciser qu'ici toute jubilation se situe
à un niveau inhabituel (...) puisqu'il n'est question
que de suspense, de tragique et de mystère.
PHILIPPE CARLES • JAZZMAGAZINE
De l'ouverture à la clôture "Ghosts of Bernard Herrmann"
s'écoute comme une enquête, se lit comme un portrait.
Une biographie amoureuse.
THIERRY LEPIN • JAZZMAN
Au centre de cet enregistrement de toute beauté
et d'une grande intelligence (...) il y a une cohérence
et une intensité exceptionnelles.
SYLVAIN SICLIER • LE MONDE
Il nous faut donc croire aux fantômes,
surtout si ce sont ceux de Bernard Herrmann
mis génialement en total pianisme par Stephan Oliva
et superbement enregistré par Gérard de Haro
(pléonasmes).
WWW.CULTUREJAZZ.NET
Indispensable ce disque le sera à tous
les amateurs de musique au caractère mystérieux,
vous savez celle qui tient en haleine continue
et qui fait que jamais l'attention ni la tension
ne baisse car l'on ne sait jamais ce qui se cache
derrière chaque note, ni quel fantôme pourrait apparaître.
WWW.PIANOBLEU.COM
La musique d’Oliva, à partir de motifs simples
mais forts, de thèmes rythmiquement répétitifs,
dans les graves du piano, en jouant de suspensions,
nous entraîne dans une spirale élégiaque
parfois violente et tourmentée.
WWW.CITIZENJAZZ.COM
Stéphan Oliva refait les films, refait son film.
Et de cette fouille intérieure, le pianiste extrait moins
une forme de nostalgie anémique, qu'il ne figure son
propre cheminement au travers de récits recomposés
dans lesquels il travaille à se défaire du passé.
Vertige de la musique qui convoque les morts pour mieux
nous renseigner sur la marche des vivants.
fabrice fuentes.
FABRICE FUENTES • PINKUSHION
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